Interview Frédéric DELAVIER – SPLIT ou FULL BODY, Les Clés de son succès.

Cédric Girs : Donc avant de commencer, je tiens à dire que je suis vraiment heureux de vous avoir en interview, je vous remercie.

Frédéric Delavier : Il faut préciser qu’il est à 2h18 du matin.

Cédric: Oui haha !

Frédéric Delavier : Je suis fatigué, je me suis trop entraîné. 🙂

LES 11 CLÉS DU SUCCÈS SELON FRÉDÉRIC DELAVIER

Cédric: Bonsoir monsieur Frédéric Delavier

Frédéric : Bonsoir, c’est un blog de jeune non ?

Cédric : Oui il y a des jeunes comme des plus âgées, c’est un blog pour tous ceux qui débutent la musculation. Alors pour ceux qui ne vous connaissent pas, vous êtes l’auteur du best-seller la méthode Delavier le tome 1 et 2, le guide des mouvements en musculation, j’ai le livre ici dans mes mains et bien d’autres en collaboration avec Michael D. Gundill.

Les livres en général ont tellement été appréciés qu’il y a même des copies pirate en Turque, en iranien et voire même en Russe et, aujourd’hui, on aimerait bien savoir comment est-ce que vous êtes arrivé à se succès là monsieur Delavier.

Frédéric : Donc, je vais expliquer en temps qu’auteur de renommer mondial, qui a quand même réussi à vendre des millions de livres dans le monde. Je suis un Francais et beaucoup de gens en France ne me connaissent pas, mais il faut savoir que je fais partie des rares auteurs à vendre plusieurs millions de livres dans le monde et à être étudié dans de nombreuses facs du monde entier et à être traduit en plus de 30 langues.

Je suis traduit dans le monde entier, j’ai une certaine renommée et en cela je suis un français, un individu qui peut expliquer aux jeunes Français comment réussir dans la vie surtout que c’est très difficile de réussir quand vous partez de rien en France par exemple.

Et comme je parle pour la sphère francophone puisque c’est ma langue natale, je vais expliquer à tous c’est petit francophone comment essayer de réussir dans l’existence, tout ça est une question de probabilité, plus vous essayez et plus vous avez des chances d’y arriver et l’échec n’a aucune importance pourvu qu’il ne vous détruise pas.

Alors si j’ai réussi ce livre c’est que je l’ai effectivement fait avec amour, je l’ai fait en me disant qu’un jeune homme viendrait après et pourrait avoir se livre que j’ai rêvé et que je n’ai pas eu quand j’étais jeune, donc j’ai fait de tout mon coeur se que j’aurai aimé trouver. Il faut faire aux autres se que vous avez envie que l’on vous face, c’est un secret de la réussit, on ne va pas faire des choses que pour l’argent ça n’a aucun intérêt les gens vont le sentir.

Évidemment, vous pouvez gagner votre vie, mais la véritable réussit c’est d’être devant la glace et de se dire : je suis un homme bien j’ai fait quelque chose de bien de ma vie, quelque chose de bien pour les autres, pour le groupe et pour moi, car le groupe est le garant de la survie de l’individu

1er Clé du succès : Visez loin

Alors quand vous débutez, les jeunes et les moins jeunes, mais les moins jeunes ont moins de temps devant eux donc moins de possibilités de tenter, d’échouer et de réussir, donc il faut toujours viser loin pour essayer de réaliser son rêve. Plus vous visez loin, plus vous retomberez loin même si vous échouez.

2ème Clé du succès : Ne pas s’entêter devant un mur

Ne pas s’entêter si on est en face d’un mur, quand on voit qu’on arrive devant un mur, qu’on bloque, il ne faut pas essayer de le défoncer ou de passer au-dessus. Quand vous avez un mur en face de vous essayez de le contourner, n’affronter pas les obstacles de face ça va vous affaiblir. Vous n’en avez probablement pas les moyens surtout si vous n’êtes pas très riche et pas très accompagner au début.

Donc, comme je dis toujours, si la porte principale vous est bloquer ou par votre manque de diplôme, n’hésitez pas à essayer de rentrer par la fenêtre des chiottes.

Il y a toujours de moyens, si on vous bloque l’entrer essayez de passer par derrière c’est une des bases.

J’avais rêvé d’être peintre et de vivre de ma peinture, on me disait de continuer dans la peinture alors que c’était une voie sans issue. Alors se que j’ai fait, j’ai contourné. Moi qui aimais peindre, qui aimais dessiné, et où est ce que j’ai pu m’exprimer totalement dans mon art ce n’est pas en allant dans les galeries d’art c’est en trouvant mon milieu et en mettant de la peinture, de l’art, dans les magasines de musculation là où il y en avait pas.

J’ai pu à se moment là être diffusé partout et rentrer dans les écoles d’art, rentrer dans les facs de paléontologie, dans les facs de médecine, les facs de kinésithérapeute par le biais de la musculation tout simplement et je suis enseigner dans les écoles d’art en Amérique qui forme les dessinateurs.

Donc je suis devenu un grand artiste du corps humain en rentrant justement par la fenêtre des chiottes vu que les galeries d’art étaient fermées pour moi.

Donc vous voyez, il y a toujours un moyen de contourner, quand on vous ferme la porte passer par celle d’à côté et essayez d’apporter une nouveauté là où elle n’y est pas.

Si vous voyez quelque chose de bien quelque part vous le prenez et vous le mettez ailleurs où il n’est pas là, c’est une technique pour réussir sa vie.

3ème Clé du succès : Avoir une vision objective de soi

Avoir une vision objective de soi et du monde, accepter de se regarder en face. C’est dur d’accepter ses défauts, c’est dur de se dire que je ne serais jamais champion du monde de sprint, car je n’ai pas la morphologie.

La plus grande des qualités c’est de pouvoir se regarder en face et de se connaître, connais toi toi-même pour pouvoir essayer de corriger temps bien que mal ses défauts, mais surtout d’optimiser tes qualités pour les faire briller pour aider le monde avec ces qualités que tu as.

Quand vous êtes sûr que vous êtes bon du fond du Coeur, n’allez pas par modestie ne pas le dire c’est un blasphème !! Vos qualités doivent être données au monde pour le faire briller et aider les autres.

Donc, avoir une vision objective de soi et du monde, ne pas rester dans l’illusion on est pas chez les bisounours c’est une des bases pour les jeunes qui nous regardent.

4ème Clé du succès : Aimez ce que vous faites

Il faut vraiment pour réussir quelque chose dans la vie il faut aimer se que l’on fait. Refuser ce que l’on n’aime pas. Ne vous mettez pas dans une branche par sécurité si vous la détestez, si vous ne supportez pas ça.

Combien de gens on vécu leurs vies en attendant leur retraite dans un milieu qu’ils n’aimaient pas, vous ne pouvez pas vous épanouir et en général, on ne fait bien que se qu’on aime et on aime que se qu’on fait bien donc ça va dans les deux sens.

5ème Clé du succès : Avoir soif d’apprendre

Toujours, essayez de garder cette âme d’enfant émerveiller par le monde. Il y a toujours des choses à apprendre, toujours des choses nouvelles à voir et ça c’est une des bases.

N’arrêtez pas d’apprendre, n’arrêtez pas de vous passionner !! On réussit ce que l’on aime faire, mais ce que l’on fait avec passion et amour toujours.

6ème Clé du succès : Derrière la souffrance se cache la réussite

Il faut savoir que c’est souvent la souffrance et le faite d’avoir été brimer qui fait de nous des hommes avec de l’énergie, alors pas tout le temps, mais souvent.

Savoir qu’en général, arrêter de se plaindre et utiliser la souffrance, utiliser la pression que l’on a reçue, utiliser le besoin de revanche, des fois même la haine, essayez de transcender sa pour essayer de réussir.

Il faut savoir qu’en général, l’homme est fait pour le combat! On est fait pour subir et combattre, mais dans ce combat on peut réellement s’épanouir et se transcender. Il faut un minimum de pression dans la vie pour réussir et en fin de compte s’épanouir.

Il faut savoir que l’on ressent le goût de la tarte au chocolat, on le ressent d’une façon divine, d’une façon sublime quand on a goûté la merde un certain temps.

On ne peut connaître la joie que par la souffrance, toute chose à son contraire c’est une des bases. Il faut faire ce que l’on peut dans l’existence et ne pas attendre, faites-le tout de suite. Quand vous avez quelque chose à faire ne le remettez pas au lendemain, faites le tout de suite.

7ème Clé du succès : Soyez persévérant

Un autre truc dans le boulot c’est soyez persévérant ! Ça ne veut pas dire que quand vous voyez que quelque chose ne marche pas vous allez continuer non !

Soyez persévérant quand vous avez un but, si vous n’êtes pas capable de travailler 8 heures par jour, travaillez tous les jours 2 heures, et bâtissez quelque chose que se soit dans la relation familiale que se soit dans le travail, toujours avec une espèce d’assiduité dans le travail et même si un jour vous êtes fatiguer bin bosser un petit peu. C#est se que le body-building apprend, la musculation, ça vous apprend la rigueur, le travail régulier et c’est pour cela que le sport est un très bon enseignement de la réussit parce qu’en musculation on sait que si ont travail pas on va descendre.

Si vous travaillez vous avancez, si vous arrêter vous redescendez et vous vous écraser donc toujours continuer, avancer en essayant de s’améliorer en permanence.

8ème Clé du succès : Se donner un objectif et des limites dans le sacrifice

Par exemple pour mon livre, je m’étais donné 3 ans. Donc, 3 ans à bosser tous les jours 8 heures par jour sans argent juste avec un RMI, j’étais en collocation parce que c’était dur. Dans un petit appartement sans chauffage l’hiver parce que je n’avais pas les moyens de me chauffer et sans viande pendant 1 an.

Une fois je n’ai pas eu de viande pendant 1 an et je n’ai pas quitté Paris pendant 5 ans. Je m’étais dit 3 ans pas plus, car après je ne pourrais pas continuer.

Mais accepter un sacrifice qui ne vous détruira pas.

Mon bouquin a marché et le sacrifice a donné, mais j’aurais pu échouer.

9ème Clé du succès : Réussir est une question de probabilité

Peu de gens essayent réellement, ils sont sur des rails et ils ne les quittent plus. Le confort que leur rapporte cette existence et ils passent à côté de leurs rêves et de leurs désirs.

Des fois ils ne mettent pas en valeur les qualités parce qu’on leur a dit d’être notaires ou on leur a dit d’être avocats et des fois ça fait des gens malheureux parce qu’ils avaient des qualités que leurs milieux leur ont interdit de développer.

10ème Clé du succès : Choisir des exemples

Essayez d’avoir des exemples dans la vie. Suivre des hommes qui vous ont influencé. Alors moi par exemple j’ai eu comme grande influence Léonard De Vinci, je voulais le ressembler.

J’ai étudié ça technique de dessin, mais pour m’imposer aussi dans mon travail j’ai suivi d’autres exemples. J’étais haineux, j’étais pauvre, j’avais la haine, malheureusement que j’ai transformé grâce à un accident de la vie qui m’a fait transformer cette haine en énergie pour bâtir.

Mais, effectivement j’ai pris comme modèle pour réussir des modèles qui me ressemblait, c.-à-d. que je ne peux pas prendre comme modèle d’existence pour réussir, si vous êtes pauvre, quelqu’un qui a réussi sont existence, qui a créé quelque chose, en partant de haut grâce à l’appui familial.

Donc, essayez de vous projeter, essayez de voir comment ont fait les gens qui partaient de rien.

11ème Clé du succès : Ayez une haute estime de vous

Comme disait Vandamme : Je suis parti aux états unis, dans ma tête j’étais déjà une star.

Et bin moi dans ma tête j’étais déjà un auteur de renommé mondial. J’étais déjà dans ma tête un philosophe, même si je ne l’étais pas encore réellement, mais je portai en moi le germe de ce que j’allais être.

Toujours une grande conviction pour la réussite, soyez convaincu que vous allez réussir parce que se que vous jetez par l’esprit dans l’avenir, se que vous pensez très fort, vous pouvez le réaliser. Ce sont des grappins que vous envoyez et que vous tirez vers vous.

Envoyez vos pensées dans l’avenir et dites-vous : je veux être comme ça. Et ses pensées vous tirent vers ce que vous voulez être.

Si vous n’avez aucune pensée ou aucun désir, vous ne serez rien. Donc, pensez très fort se que vous voulez être, il faut d’abord se convaincre de se que vous voulez être c’est la bases.

 » Je suis convaincu d’être bon  » et vous le devenez progressivement. Alors bien sûr, comme je dis toujours, quand on veut on peu, moi je répète toujours, quand on veut on peu sauf quand on peu pas et sa c’est être objectif sur soi.

Avoir la capacité du regard sur soi, de savoir si vous avez les capacités ou pas, après ce n’est qu’une question de probabilités. Je tente une fois, deux fois, trois fois, sachez que si vous tentez 10 fois vous réussirez, mais il faut beaucoup d’énergie.

Plus vous tentez avec amour et passion, plus vous avez de chance de réussir. Il faut avoir aux fonds de soi un désir de réussir et essayer de se convaincre et de se dire que vous avez une mission, car si vous êtes convaincu que vous avez une mission, vous n’en serez que plus puissant.

split ou full body

Allez de l’avant, dire que l’on est quelque chose, échouez, mais continuez, être persuadé que l’on est bon, continuez à travailler c’est très intéressant et étudier ça vous permet de comprendre comment cheminer vers l’objectif que vous vous êtes donné.

Alors, prenez des exemples qui vous ressemblent, si vous êtes un fils de famille n’allez pas prendre quelqu’un qui est parti d’en bas.

11ème clé du succès : Utilisez les outils de votre époque

Vous voyez par exemple qu’il y a YouTube, il peut être un très très bon moyen de montrer ce que vous savez faire, Facebook est un moyen de communication. Utilisez tous les réseaux sociaux, utilisez tous les moyens de l’époque et détournez-les.

Par exemple Facebook qui est pour se faire des amis, peu très bien être un moyen de nouer des relations professionnelles. YouTube peut être un tremplin pour réussir dans votre projet politique de pacification de la terre et la façon peut être de permettre à l’humanité de vivre en harmonie grâce au message que vous passez par YouTube. Ça peut être une première approche.

N’hésitez pas à utiliser tous les moyens de votre temps.

COMMENT FRÉDÉRIC DELAVIER A CONQUIS L’AMÉRIQUE AVEC SES LIVRES

Frédéric : J’ais dis à mon éditeur, on va avoir l’Amérique ça correspond.

Heu rêvez pas, at-il dit. Moi j’ai dit : si si on va avoir l’Amérique, je sais que je peux être le meilleur en Amérique.

Cédric : Wouaw

Frédéric : Le mec il m’a pris pour un dingue, c’est comme si je disais que je pouvais être le président de la République, j’ai la capacité, je ne dis pas que je vais l’être, mais j’ai la capacité.

Donc, il sait moqué de moi et il m’a dit : non monsieur. Moi je lui ais dit que nous pouvions avoir l’Amérique. Je lui ai dit : mettez internet chez vous c’est un nouveau réseau social, vous allez pouvoir communiqué avec les Américains ils l’ont déjà.

Tu sais à l’époque internet ce n’était pas aussi rapide que ça, toi Cédric tu es un jeune, mais internet ça allait très lentement c’était bon pour envoyé des e-mails, pour voir quelque site d’information, mais c’était une espèce de minitel améliorer si tu veux.

Donc je lui ai dit qu’avec internet on peut faire plein de trucs. Il l’a pris et ça lui a permis de communiquer avec les Américains.

Il est allé ensuite les voir sur Francfort et la les Américains ont dit : Ah ouais c’est génial.

Les américains ont confiance en la qualité allemande et comme j’avais déjà été édité par les Allemands, ils m’ont pris directement et là ça a fait baisser l’or mondial parce que je suis passé d’une vente en France qui était à 30.000, qui était bien pour l’époque, et en Allemagne où j’ai dû faire 60.000 ou 45.000 ce qui était énorme, je vivais bien.

Donc, j’avais peu de pourcentage aux états Unis parce que j’avais des frais et c’est mon éditeur qui imprima, mais on est passé à des ventes dans le genre à première année 100.000 et je me demande si une année je n’ai pas fait 300.000 ventes.

Quand tu calcules 300.000 ventes à 70 cents pièce bin je me suis retrouver avec 250.000 eurs mais sa par très vite en impôt parce qu’à se moment là tu es considéré. Il veut mieux gagner moins à la fin parce que c’est très rapace.

J’étais au courant de rien et j’ai tous déclarer, je n’y connaissais rien j’ai dit : Non moi je suis fière de payer des impôts, et j’ai eu plus de 60 % d’impôt.

Moi je croyais que c’était bien, je croyais que je donnais à l’état, je voulais être un garçon droit ce qui me permet maintenant de cracher à la gueule d’un mec qui me dit que je ne paye pas mes impôts.

Cédric : haha

Frédéric : C’était une erreur de faire ça parce que j’aurais dû, comme je fais maintenant, prendre un comptable qui permet de défiscaliser certaines parties, de payer beaucoup moins. Mais quand j’ai eu une explosion en Amérique j’aurais dû tout de suite le faire, mais j’y croyais pas moi, je n’ai pas eu des parents qui m’ont formé à sa.

J’ai des parents qui m’ont laisser à la rue en disant qu’un homme, ça se débrouille tous seul, pour mon papa c’était une façon d’économiser l’argent pour le dépenser avec les femmes si tu veux.

Donc, il se justifiait en me laissant à la rue en me disant qu’un homme, ça se fait tout seul autrement c’est pas un homme, ce qui est faux parce qu’en France si tu es tout seul dans la rue tu risques d’y mourir.

J’ai failli mourir dans la rue.

Donc, voilà, j’ai eu la chance, une conjoncture, la guerre du golf, la publicité qui s’effondre, rencontrer un bon prof par l’intermédiaire d’un vieux copain, le monde du muscle où j’ai pu rentrer, un éditeur qui à cru en moi.

Je crois que je dois être le premier français à avoir vendu mes livres directement aux états unis par internet en édition je parle.

D’ailleurs, je suis un des rares Français à voir faits 1 million de vente très rapidement aux États Unis. 1 million aux États Uni, t’n’as pas beaucoup de mec qui le fait. TU vois je fais parti des auteurs qui écrive plusieurs millions de livres avec des explications morphologique, africaine, européenne qui explique les différences  » raciales  » des adaptations climatiques.

Ce qui était une nouveauté, mais ça aurait pu être pris pour du racisme alors que c’est rechercher maintenant par les Africains, les Magrébins, les Européens qui sont heureux de comprendre leur différence pour justement pouvoir ne pas se blesser, pouvoir les optimiser dans un but sportif ou même dans la vie en général.

J’étais à l’avant-poste et j’ai apporté surtout par mes livres une grande qualité de dessin. Mettre ça dans le body-building (musculation) c’est de la renaissance que je mets dans le body-building.

Je me disais toujours, j’ai pas la porte ouverte des galeries, j’ai pas la porte ouverte des musées, mais tu vois bien que maintenant je suis étudié dans toutes les écoles d’art du monde, mais je vais faire rentrer de l’art du niveau de la renaissance, puisque je travaille avec les techniques de la renaissance, bâtir un corps de l’intérieur comme Léonard De Vinci parce que c’était mon maître à pensé à la base, donc je fais rentrer de la pure culture européenne et de l’art européen chez les body-builders qui eux, sont considérés comme des gros bonnets abrutis, mais eux, comme ils ont été sympa avec moi, ils auront le droit au plus dessin et à la meilleure explication technique d’anatomie que même les livres médicaux n’ont pas.

Cédric : Waouw

Frédéric : Les médecins ne comprenaient pas, tu sais, le gros body-builder qui viens chez eux qui dis j’ai mal là, et qu’il lui sort un livre mieux expliquer que le leur. Les médecins disent : mais qu’est-ce que c’est, pourquoi les body-builders ont des livres de meilleures qualités ?

Voilà ce que j’ai voulu faire, quand on te faire la grande porte d’entrer vous rentrer par la fenêtre des chiottes, c’est pas grave. Quand vous avez quelque chose de beau à faire, faites-le briller. Commencer à briller dans les chiottes et puis vous finirez par briller dans le salon et après vous brillerez devant des milliers de personnes et des millions pour le bien de l’humanité pas pour vous.

L’important c’est ce que l’on transmet, les bonnes choses que l’on a transmises. Comme disait Mohammed le Prophet : Il nous reste 3 choses après la mort, c’est les bonnes actions que nous avons faites, la bonne éducation de vos enfants, et le savoir que vous avez transmit, à part cela il ne restera rien.

Et comme il est dit dans le Coran, ce n’est pas les hommes que tu dois aimer ces Dieu, Dieu dans les hommes. Qui veut servir Dieu sert les hommes.

Tu ne vas pas à l’église ou à la mosquée pour servir Dieu, ce n’est pas comme cela que tu sers Dieu, ça, c’est un recentrage sur toi. Pour servir Dieu il faut aider les hommes et sans haine.

Si Iblisse ou Satan existe, c’est en fin de compte qu’il a une fonction, c’est de réunir les hommes vers l’amour vers Dieu.

Cédric : C’est comme vous avez dit dans une de vos vidéos, pour vraiment sentir le gout de ce gâteau au chocolat il faut avoir aussi goûté la merde.

Frédéric : Voilà c’est se que je dis aux jeunes, c’est la grande réprime du bourgeois français, il a tous se garçon et puis il fait le pris madame figaro ou je ne sais pas quoi et puis ta un bourgeois ou une petite bourgeoise, maintenant c’est la mode, de 22 ans ou 23 ans qui a eu tout dans sa vie et qui est droguée, alcoolique et qui crasse son mal-être sur 400 pages, et tu te dis, mais… elle a tous, mais pourquoi elle fait sa ? C’est inintéressant ça ne se vendra pas à l’étranger.

Il a tout, mais il n’a pas goûté le caca ! Comme il a pas d’espoir, il a ni peur de tomber ni besoin de combattre pour faire sa place il est dans l’horreur, puisqu’un homme il a besoins d’avoir la référence de la souffrance pour connaître la joie et la jouissance, il a besoin de savoir où est le bien et où est le mal. Et là l’autre il ne connaît rien, il connait que le bien et c’est pour cela que c’est bourgeois écrivent des romans inintéressants, mais c’est terrible pour eux.

Ils ne connaissant pas le goût de la merde, donc c’est vrai que psychologiquement c’est très dur parce qu’une vraie vie réaliser c’est une vie où tu expérimentes tous les états de l’homme, c.-à-d. la joie et la souffrance. La joie n’ayant de valeur que quand tu connais la souffrance et là tu la savoures.

Être prêt de quelqu’un que l’on aime tu sais que c’est bien quand tu as vécu la distance. La vie est des fois dure, tu perds des êtres que tu aimes, la vie ce n’est pas un chemin tapisser de rose, c’est des fois un parcoure où tu marches dans la merde et même parfois où tu es dans la merde.

Il faut toujours tendre vers le mieux, le plus beau, le mieux pour les autres en pensant que c’est fait pour les autres parce que nous sommes vraiment réunis, on se sent vraiment vivre que quand on donne à l’autre, mais pas quand on prend parce que quand on prend on peu toujours prendre plus et on reste insatisfait.

La véritable satisfaction de l’existence c’est quand tu donnes à quelqu’un et que tu vois qu’il est heureux, donc tu donnes de ton énergie à l’autre. Comme je le dis tout le temps, sur le chemin de la vie l’essentiel quand tu arrives à la fin, je ne suis pas à la fin, mais je l’ai compris plus tôt, le but essentiel c’est le chemin.

Et Confusius disent la même chose, l’essentiel c’est le chemin et mi je rajoute derrière, car sur le chemin nous ne sommes pas seul et nous pouvons expérimenter la relation à l’autre donc aimer et en retour être aimé.

Cédric : waouh

Frédéric : Mais pour vivre pleinement, il faut donner et aimer sans attendre en retour. Si tu veux réellement réussir ta vie, faut réellement donner sans espoir de retour. Alors, c’est paradoxal parce que le mec il veut recevoir, mais si tu veux recevoir tu n’auras rien. Donne par amour et tu t’en fou !

On ne te demande pas de te suicider, on te demande de créer par amour, réaliser quelque chose de bien pour les hommes, et à ce moment là ils le sentiront. Quand tu réalises quelque chose de bien pour les hommes, ils le sentent tout de suite et cela ne peut que marcher !

Cédric : Wouaw

Frédéric : Maintenant ou plus tard quand tu seras mort, mais ce n’est pas grave, tu auras la satisfaction. Tu sais que tu as fait le bien, pas pour toi, pas pour l’orgueil, mais pour les hommes. Et comme Dieu est en tout être expérimentant la vie, tu le fais pour celui qui est en face de toi, car c’est un autre toi-même.

Ça parait con hien, c’est un peu théologique, mais c’est la réalité d’existence, donc aimons Dieu et la seule chose à vénérer au Monde ce n’est pas les hommes, mais c’est Dieu en toute chose et en tout être.

Tu vois ce que je te dis à 3h08 du matin !! 🙂

Cédric : Mais c’est génial monsieur Delavier, en fait se que l’on viens de comprendre c’est que vous avez écrit se livre parce que vous aimez les gens, vous vouliez partager, vous vouliez aider les gens, vous n’avez pas écrit se livre en pensant à devenir riche du jour au lendemain.

Frédéric Delavier : Alors, j’ai pensé à devenir riche tout le temps. Il faut toujours penser à devenir riche.

Cédric : Ah OK

Frédéric Delavier : Il faut savoir que, si tu ne penses pas gagner de l’argent tu meurs, parce qu’à partir de se moment là tu deviens un parasite. Si tu ne gagnes pas de l’argent, tu vas aller le prendre aux autres. Il faut toujours penser à gagner de l’argent, c.-à-d. que tout travail que tu dois faire, tu dois te dire que tu dois le rentabiliser.

Quand j’ai fait se livre j’ai dit : c’est mes études que je rentabilise tu comprends ? Mais je me suis toujours dit, je fais se livre pour le jeune garçon que j’étais et qu’il ne la pas eu tu comprends.

C’est-à-dire que je me suis tout le temps dit : quand un jeune garçon prendra se livre dans les mains il aura tout se que je n’ai pas eu, il sera heureux et il se dira  » Putain il y avait un mec qui était bien, je veux être comme se mec, etc. »

Tu vois c’est simple, c’est être un exemple. Je me disais que je vais revenir dans un garçon qui aimera mon livre plus tard, jusqu’au moment où j’ai compris que c’était encore plus puissant que ça, je ne vais pas revenir dans un garçon, j’y suis déjà !

Cédric : Ah oui !

Frédéric Delavier : Si j’accepte d’avoir Dieu en moi, pas moi je ne suis pas Dieu, mais c’est Dieu en moi.

Donc, je suis déjà dans ce garçon qui est en face. Celui qui fait l’expérience de la vie en moi, qui est le même en chaque individu, va un jour voir ce livre et va dire  » Ah je veux être sa, je veux être comme lui  »

D’où l’importance d’être un exemple, faire de sa vie une vie exemplaire, même si tu as des défauts cache les uns peu, ne les montres pas sauf si c’est important de les montrer à quelqu’un pour le bien du groupe, le groupe passant avant tout. Il faut être un exemple.

Si tu es un exemple, c’est pour le groupe donc pour toi. Le groupe est le garant de la survie de l’individu.

Cédric : Donc vous avez pensé à aider des personnes, mais vous avez aussi pensé à avoir, comme je reprends vos mots, une énergie calorique, c’est-à-dire que vous désiriez aussi avoir de l’argent de retour, de l’énergie.

Frédéric Delavier : De l’argent, voilà c’est sa ! Tout est calorique !! Tu ne peux pas concevoir ce monde sans appliquer les règles de ce monde qui sont les règles divines, c.-à-d. que tout est énergétique.

Le monde faut le manger, le monde se mange lui même, Dieu se nourri de lui-même, de son énergie, c’est du cannibalisme, pour vivre il faut mourir.

Nous prenons au monde et nous redonnons au monde toujours. Que se soit spirituellement, l’enfant prend à ses parents l’énergie qu’il y a autour et un jour par le savoir qu’il aura accumulé redonne avec son apport personnel au monde.

Tu ne vis que par ce que tu reçois. Ou tu le gagnes toi même honnêtement par l’échange du travail et les gens te reconnaisse pas ton bon travail, ou tu le piques aux autres en parasita.

Alors à haut niveau ça fait nos politiques qui sont des parasites corrompus qui vivent sur le système et tu as aussi le parasita de bas niveaux avec des mecs sans espoir et qui savent qu’ils ne vont pas monter et qui vont toucher des aides sociales qui tendent la main et qui finissent pas avoir un HLM et par ne pas bosser parce que de toute façon ils n’auront rien.

Donc, on encourage par l’exemple du haut le parasita minable du bas. C’est normal, le papa ne montrant pas l’exemple les enfants risquent d’être pervertis, s’ils n’ont pas la chance de se retrouver à un certain moment remonter par une voix, par la main divine, par une rencontre qui les sauvera.

Il faut à ce moment là essayer d’être dans l’échange. Je crée, je travaille pour le groupe et le groupe me le rend. C’est comme cela que ça fonctionne.

Cédric : Faut-il vraiment penser heu…

Frédéric Delavier : Qu’est-ce que je vais faire de bien pas pour moi, mais pour le groupe, je veux faire quelque chose de bien pour le groupe et par orgueil. Tu sais c’est la gamine de riche qui dit : ah moi se que je veux faire c’est de l’humanitaire. Et elle vie dans un 160m carrés dans le quartier riche à Paris, nourri logée aillant tout le temps vécu avec l’argent de son papa qui est politicien et qui gagne beaucoup d’argent en exploitant un peu les producteurs pressuriser du peuple.

Et elle qui se donne bonne conscience en disant : ah je vais faire de l’humanitaire.

Elle va faire 3 colis, elle va aller chez les Africains porter 3 sacs de riz et pouponner 3 petits enfants noirs et elle va revenir et se marier avec un mec riche. Tu vois sa c’est rien sa !!

Ce qui faut se dire c’est, qu’est-ce que je peux faire réellement pour améliorer le monde, à mon niveau qu’est-ce que je peux faire de bien, qu’est ce que je sais faire de bien.

Il y des mecs c’est les sandwichs, je connais des mecs qui font des sandwichs excellents.

Ce dont tu fais sincèrement avec le Coeur les gens le ressent.

Même Johnny hallyday, je ne suis pas fan, mais c’est un gars qui vie pour la scène et pour sa publique uniquement quasiment, le reste il s’en fou un peu. Il a collectionné es femmes, mais bon. Ce qu’il aime c’est donner de l’émotion et en vivre.

Il y en a qu’ils le savent inconsciemment, mais c’est sa, si t’es pas bon un jour tu risques de le payer.

Cédric : Si tu n’es pas bon, tu risques de le payer ?

Frédéric Delavier : Si tu ne le fais pas sincèrement tu risques de le payer tôt ou tard, tard des fois, mais tu risques de le payer.

Cédric : et comment risquerons-nous de le payer en fait ? Par un abandon ?

Frédéric Delavier : Il y aura une espèce de cynisme qui fait que tu deviens un mort vivant à la fin, c’est risqué. Tu n’as pas ce plaisir de voir l’autre heureux, qui est le plus grand des plaisirs.

Cédric : Waouw !!

Frédéric Delavier : Tu vois on va un peu plus loin que dans le sport !! 🙂

Cédric : Oui c’est génial, J’aimerai bien, monsieur Delavier, que l’on rentre dans le sport

SPLIT OU FULL BODY

Cédric : Juste une petite question de Greg qui nous a demandés :

Lors que nous débutons en musculation faut-il commencer par un split ou full body ?

Frédéric Delavier : Travailler tout le corps en une séance ou grouper c’est ça ?

Cédric ; exact ! 🙂

Frédéric Delavier : C’est une question de temps. Si tu n’as pas le temps, tu essayes de faire tous les exercices d’un coup. Si tu n’as qu’un entraînement par semaine ou deux ça va être dure de focaliser à chaque fois tu vois ?

Tu es limité, soit tu es un étudiant soit tu bosses, tu vas essayer de faire un full body ou un semi-full body. Tu vas faire 3 parties d’un coup et 3 autres parties d’un coup surtout si tu n’as que 2 jours dans la semaine. Et puis un rappelle sur un point faible, mais bon l’idéal, en musculation pour le volume je parle, c’est d’essayer de grouper un groupe musculaire pour bien travailler et cibler.

Ce que fait Gundill d’ailleurs. En doublant ou en triplan sur le point faible parce qu’il y a des parties qui vont se développer facilement. Pour l’harmonie je parle, après la force c’est un autre travail, c’est différent.

Faire de la musculation pour un sport de combat ou même pour le rugby c’est encore différent, c’est de travailler sur des mouvements que l’on va retrouver et qui se rapproche le plus possible des mouvements que tu vas avoir dans le sport que tu vas pratiquer et renforcer les parties qui sont le plus mises à l’épreuve dans le sport que tu veux pratiquer.

Pour la boxe c’est le cou les abdos, etc. le rugby le cou, les épaules et plein de trucs à travailler, pour les projections le dos, les cuisses pour pousser, etc.

Cédric : OK super donc en fait comme vous l’avez dit c’est juste une question de temps.

Frédéric Delavier : Oui c’est une question de temps. Moi il m’arrive, quand je n’ai pas le temps, de grouper pratiquement tout le corps d’un coup. Un peu de jambe, de pecs, de triceps et puis un peu d’épaule, bon j’ai pas le temps de faire le dos, mais c’est quand je voyage bin j’ essaye de conserver, mais je ferais un peu mieux la prochaine fois.

Mais c’est vrai que l’idéal c’est une espèce de fractionner (split) pour la musculation pour développé un corps.

COMMENT GÉRER UNE BLESSURE AU TENDON

Cédric : Moi j’ai une question personnellement,

commencer gérer une blessure au tendon celui de la jambe droite.

Frédéric Delavier : Déjà faut le reposer, faut éviter de trop mettre en tension le muscle, faut le reposer un peu. Continuer à faire un peu de stretching relaxe pour quand même garder une mobilité et éviter de forcer trop sur ce muscle parce que s’il y a une tendinite c’est qu’il y a une inflammation du tendon qui est dû à un excès de travail.

Peut être une mauvaise alimentation, vérifier ton alimentation et puis un truc qui est assez efficace c’est prendre du collagène, collagène hydrolysé, sa c’est très efficace.

Boire beaucoup, collagène et repos puis sa ça marche. Tu peux le prendre ne poudre ou en liquide, c’est très efficace et si les mecs ne peuvent pas acheter de marque, tu le manges dans des parties où il y en a, tu peux lavoir dans le bouillions de poule quand tu fais avec la peau, faut manger la peux de la poule, il y en a peut être pas assez, mais c’est pas mal. Il y a aussi les pieds de cochon pour ceux qui ne son pas Muslime, c’est pas mal il y en a aussi beaucoup.

COMMENT AVOIR DES FESSE (pour les femmes)

Cédric : C’est une femme qui pose la question.

Je suis de corpulence mince et je fais du sport depuis plus d’un an, mais je n’ai toujours pas de fesse, quelle est la meilleure méthode pour développé mes fessiers

Frédéric Delavier: Si tu n’en as pas ça va être dure, mais comme je dis tout le temps les fessiers il y a tout le temps moyen d’en prendre.

Bin il faut les bosser à font et faut trouver à peu près les exercices. Si elle est court sur patte et elle est fine, peu être qu’elle va tout prendre dans les cuisses donc à mon avis c’est une question de morphologie aussi, donc il faudra essayé de focaliser sur la fesse.

Le mieux c’est, soulever de terre jambe tendue associée à du squat, mais si elle n’arrive pas à en prendre il faudra localiser autrement, du squat sans talon les pieds à plat, good morning pour focaliser sur la fesse.

Pour moi le meilleur mouvement qui existe pour la fesse, qui est vraiment extrêmement efficace, c’est l’exercice au gravitron (regarder à 40 min de la vidéo juste au dessus pour voir se qu’est un gravitron) . On détourne une machine à Dips et on le bosse en remontant très haut la jambe le pied sur la plateforme et la on remonte très haut la cuisse donc on étire énormément le fessier et on tend la jambe.

C’est un mouvement excellent et la tu le fais en série de 20 à 30, il faut que la 30e sois dure, et la normalement tu vas avoir de sacrer courbatures dans les fesses.

En général les fesses plates ne résistent pas, elles prennent un minimum de bombé.

COMBIEN DE RÉPÉTITIONS POUR LA MASSE ? 8 OU 10 ?

Cédric : Pour la dernière question monsieur Delavier,

quel est la fourchette de répétitions pour acquérir de la masse musculaire 8 ou 10

Frédéric Delavier : c’est très très variable, ça dépends de ta nourriture, de ta réaction, je dirais qu’en vérité il faut alterner les cycles, sauf sur certain groupe où tu sais que tu les travail en série longue et ça marche, mais en général quand tu fais les mouvements de base sur quelque mois 1, 2 ou 3 de préparation tu commences en série longue et on va terminer en série relativement courte.

Si on fait du body-building on va pas s’amuser à faire des super maxis, mais on va monter progressivement en charge à un certain niveau et on pompera derrière un peu plus.

Comme l’avantage c’est que plus on monte lourd plus on pompe lourd donc on peu faire du muscle. Un powerlifter lui il veut de la force bin, il fera ceci avec en plus la dernière phase des doubler des triplé ou des maxis se que n’a pas besoin de faire le body-builder qui lui va commencer en série de 15 à 20 et va peut être finir en série de 7 à 8 répétitions, mais il aura pris du volume et puis il va prendre de la force en série de 8 pour permettre de descendre après et pomper quand il va refaire un cycle en plus lourd.

Donc, voilà il faut faire des cycles et quand tu arrives à la fin de ton cycle tu peux derrière redescendre en pyramide ou tu fais progressivement des montées en pyramide qui sont de plus en plus hautes c’est une autre optique.

Et chaque semaine ta pyramide monte plus haut et tu redescends après c’est aussi une variante.

Cédric : OK super c’est terminé haha !! 😀

Les livres de Frédéric DELAVIER :

Si l’article  » Interview Frédéric DELAVIER – SPLIT ou FULL BODY, Les Clés de son succès.  » vous a plu, n’hésitez pas à le partager à d’autre personne !!

Cet article s’intitule  » Interview Frédéric DELAVIER – SPLIT ou FULL BODY, Les Clés de son succès. « 

pixel-2278592